Impromptu Schubert op 90 n° 3

De Schubert -interprété par Florent Monfort (saxo) et Valeria Suchkova (Piano) :

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Musique

Sonatine (3) de Ravel

De Ravel – interprété par Florent Monfort (saxo) et Valeria Suchkova (Piano) :

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Musique

Sonatine (2) de Ravel

De Ravel – interprété par Florent Monfort (saxo) et Valeria Suchkova (Piano) :

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Musique

Sonatine (1) de Ravel

De Ravel – interprété par Florent Monfort (saxo) et Valeria Suchkova (Piano) :

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Musique

Intermezzo Brahms (3)

De Brahms par Valeria Suchkova ep Florent Monfort :

Intermezzo_Brahms_3

Musique

Intermezzo Brahms (2)

De Brahms par Valeria Suchkova ep Florent Monfort :

Intermezzo_Brahms_2

Musique

Intermezzo Brahms 1

De Brahms par Valeria Suchkova ep Florent Monfort :

Intermezzo_Brahms_1

Musique

Sérénade (Schubert)

De Schubert – Interprété par Bernard Cavarec (Orgues) et Florent Monfort (Saxophone) :

SerenadeSchubert

Musique

Suite pour orchestre (Bach)

De JS Bach – Interprété par Bernard Cavarec (Orgues) et Florent Monfort (Saxophone) :

SuiteBach

Musique

Teleman (suite)

De Teleman – Interprété par Bernard Cavarec (Orgues) et Florent Monfort (Saxophone) :

Teleman

Musique

Ave Maria (Gounod)

De Gounod – Interprété par Bernard Cavarec (Orgues) et Florent Monfort (Saxophone) :

AveMariaGounod

Musique

Adagio de Bach (2)

De JS Bach – Interprété par Bernard Cavarec (Orgues) et Florent Monfort (Saxophone) :

AdagioBach2

Musique

Adagio de Bach

De JS Bach – Interprété par Bernard Cavarec (Orgues) et Florent Monfort (Saxophone) :

AdagioBach

Musique

Orgue et bombarde (5)

Interprété par Bernard Cavarec (orgues) et Sylvain Monfort (bombarde) :

Orgues et Bombarde(5)

Musique

Orgue et bombarde (4)

Interprété par Bernard Cavarec (orgues) et Sylvain Monfort (bombarde) :

Orgues et Bombarde(4)

Musique

Orgue et bombarde (3)

Interprété par Bernard Cavarec (orgues) et Sylvain Monfort (bombarde) :

Orgues et Bombarde (3)

Musique

Orgue et Bombarde (2)

Interprété par Sylvain Monfort (bombarde) et Bernard Cavarec (orgues) :

Orgues et Bombarde (2)

Musique

Fantaisie N° 10 (2)

De Teleman, interprété par Florent Monfort (saxophone) et Marilyse Fourmeau (piano) :

Fantaisie N° 10_2

Musique

Fantaisie N° 10 (1)

De Teleman, interprété par Florent Monfort (saxophone) et Marilyse Fourmeau (piano) :

Fantaisie N° 10_1

Musique

Moustik’s Etude

De Vivancos, interprété par Florent Monfort (saxophone) et Marilyse Fourmeau (piano) :

Moustik’s Etude

Musique

Eglogue et danse pastorale

De R.Corniot, interprété par Florent Monfort (saxophone) et Marilyse Fourmeau (piano)

Eglogue et danse pastorale

Musique

L’enfant, l’étoile et l’hippocampe

Composé et interprété par Yves Monfort (c) 1986

L_enfant_L_etoile_L_Hippocampe

Musique

Music for a march

Composé et interprété par Yves Monfort (c) 1986Music_For_A_March

Musique

Through the country

Composé et interprété par Yves Monfort (c) 1985

Trough_The_Country

Musique

Merci, Mr Gale

Composé et interprété par Yves Monfort (c) 1985

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Musique

I’m alive

Composé et interprété par Yves Monfort (c) 1986

I_m_Alive

Musique

Dis, mémé, tricotes moi un p’tit pull écossais

Composé et interprété par Yves Monfort – (c) 1985

Dis_Mémé_Tricote_Moi_Un_Ptit_Pull_Ecossais

Musique

Larsen Rock

Composé et interprété par Yves Monfort (c)

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Musique

Berceuse pour les enfants qui dorment

Composé et interprété par Yves Monfort (c)

Berceuse_pour_les_enfants_qui_dorment

Musique

Samba

Composé et interprété par Yves Monfort (c)

Samba

Musique

Concert Dan Ar Braz, Morwenn Le Normand, Clarisse Lavanant

Superbe concert le 15 Août au soir à Concarneau. La ville close résonne encore des sons de guitare de Dan et de ses superbes musiciens, comme des voix magnifiques de Morwenn et de Clarisse !

Quelques photos pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’assister à ce très beau spectacle

Musique

Brumes Irlandaises

Brumes irlandaises : cliquer sur le titre !

(c) Pierre Monfort 2014

Musique

Rospico 4

4ème morceau de l’album Rospico, dans une version intermédiaire :

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Pierre Monfort (c) 2007

Musique

Rospico 3

3ème morceau de l’album Rospico dans une version intermédiaire :

P019SRC

Musique

Song for Marion

 

SongForMarion

Pierre et Sylvain  Monfort (c) 2014

Musique

Serenade de Schubert

Interprété par Florent Monfort et Bernard Kervarech

SerenadeSchubert

Musique

Song for Chloé

(Composé et interprété par Pierre Monfort)

For_Chloe

Musique

Song for Lucie

(Composé et interprété par Pierre Monfort)

For_Lucie

Musique

Les blasons des évêques de Quimper et Léon

Le site de l’évêché de Quimper nous restitue une page d’histoire très intéressante avec le rappel des titulaires de la calotte violette au sein du diocèse depuis Saint Corentin au VIème siècle.

En particulier, nous y retrouvons les blasons de leurs titulaires. Saurez-vous reconnaître celui du titulaire actuel de la mître episcopale ?

 

Patrimoine

Genèse des têtes de maquereaux au gros lait

On trouve mention du plat  traditionnel des têtes de maquereau au gros lait dans un ouvrage intitulé :
Chronique De La Côte Sauvage Bretonne
Écrit par Monsieur le Vicomte Yann Bernard de Mont-Faucon Baron du Folgoët.
Publié vers les années 1816.

Les débordements du Pardon de Saint Buddoc’h de 1693.
En l’an de Grâce 1693, année d’une terrible famine 2 au Royaume de France, le facteur de Saint Buddoc’h avait, sur requête de Monsieur le Curé Doyen, accepté de préparer le repas partagé par les invités du Doyenné et les notables de Saint Buddoc’h, invités de Monsieur le Recteur après l’Office de Pardon de la Paroc 3.
Son choix du menu, murement réfléchi, s’était porté sur un plat simple et traditionnel toujours disponible dans nos contrées,
“Les Têtes De Maquereau Au Gros Lait”.
Mauvaise coordination avec le Maistre Fourrier chargé de l’approvisionnement des cuisines, ou, le mauvais temps et les mauvais chemins ayant compromis l’arrivage du poisson (l’enquête menée à la discrétion de Monseigneur l’Evêque par une brigade spéciale d’archers du Roy (le bras séculier) sous la conduite minutieuse de l’Archiprêtre en charge des questions de Justice de l’Evêché n’a jamais pu éclaircir ce point ,faute de témoignage) 4.
Les têtes de maquereau présentaient en tout état de cause une fraicheur incompatible avec le respect des règles édictées par l’auteur de la recette. Soucieux de ménager le gaster de ses hôtes et après consultation de Monsieur le Recteur, lui-même très scrupuleux sur l’usance faite de ses deniers, le facteur décida qu’un fond de vinaigre bien vieil serait le plus sûr moyen de garantir la qualité et la parfaite innocuité du mets. Néanmoins, un relent d’odeur de vinaigre perceptible lors de la présentation du plat aux convives provoqua leur indignation et leur rage face à une modification indigne de cette recette ancestrale. Indignation et rage qui sous le coup de la colère aboutirent à un débordement très regrettable mais bien réel et très connu dans la contrée. En effet vous avez tous entendu conter le fait que :
Les habitants de Saint Buddoc’h ont bouffé le facteur.
Conséquence malheureuse de ce tragique fait divers, la femme du facteur, privée du soutien du Pater Familias, tomba dans l’indigence et ne dût sa survie qu’à son talent de conteuse. Elle conta oralement cette sinistre affaire à travers toute la Bretagne au cours de sa quête auprès de tous les Parlements et Cours de Justice de la Province.

1. NDLR : Monsieur le Vicomte (Noblesse Catholique d’Empire) avait connu la retraite de Russie et en avait gardé quelques séquelles.
2. NDLR : Voir le site : http://angeneasn.free.fr/epidemies.htm.
3. NDLR : Lire “paroisse” le mot vient du vieux François langage en utilisation dans les années 1690.
4. NDLR : Ces archives ayant malheureusement été irrémédiablement détruites lors d’un regroupement de documents de l’Evêché fait par l’intermédiaire d’un charretier pris de boisson dans les années 1850 ne peuvent plus être consultées. Seules les « on-dits » de la tradition orale nous restent en témoignage.

Gastronomie

Chapelle de Tronoën

(selon fascicule disponible dans la chapelle)

Dsc00700_jpgLe nom de ‘Tronoën » vient du breton et voudrait dire ‘Tro-an-aon’, c’est-à-dire trêve (sous-paroisse), ou lieu placé au bord d’une rivière. Village gaulois d’abord, Tronoën fut ensuite une place forte gallo-romaine destinée à défendre l’arrière-pays contre toute invasion venant de la mer. Le culte païen qui y était célébré disparut avec l’arrivée des Bretons de Grande-Bretagne à partir du 6ème siècle.

Aux 14ème et 15èmes siècles, arrivèrent en ce lieu des moines-soldats, les ‘Hospitaliers de Saint-Jean’, chassés de la Palestine. Ils eurent pour mission de défendre la côte entre Penmarc’h et la Pointe du Raz. Ils sont à l’origine de la construction du calvaire, de la chapelle et, sans doute aussi, de l’ancienne église du Bourg placée sous le patronage de Saint Jean-Baptiste.

La chapelle :

On ne connait pas la date exacte de sa construction. Ce serait entre 1460 et 1490. L’intérieur comporte une vaste nef réservée aux moines et un bas-côté pour les fidèles. Il y a lieu de remarquer la voûte gothique en pierre et, de chaque côté du maître-autel, les piscines finement ciselées de ‘style flamboyant’. L’autel principal, de grande dimension, est d’une seule pierre (5.35m*1.10m).

Les vitraux, tout récents, ont voulu rappeler que la chapelle est dédiée à Notre Dame de la Pitié et que la mer et les dunes de sable sont tout proches.

Sont à admirer encore :

– au dessus et à gauche du maître-autel, une statue de la vierge

– sur un petit autel, côté nord, deux anges adorateurs en bois, du 18ème siècle

– une Piéta, adossée à un pilier

Le calvaire :

C’est le plus ancien des grands calvaires de Bretagne. Il a été construit entre 1450 et 1470, ce qui ressort des costumes des Rois-Mages et des chaussures à la poulaine de certains personnages.

Il se compose d’un soubassement de 1.50m sur 1.10m. Sur une doiuble frise, sont sculptées différentes scènes de la vie du Christ en granit grossier sauf les scènes de la Visitation, de la Nativité et des Rois-Mages qui sont en granit de Kersanton.

A noter certaines particularités :

– double scène pour le baptême du Christ

– le Christ debout dans la scène de la Nativité

– les deux larrons avec leur croix

– deux anges recuillant le sang du Christ en croix

A l’inverse des autres calvaires, il manque la Mise au Tombeau.

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Patrimoine

Saint-Anne La Palud

(extrait de Wikipedia)

 DSC00222_JPGLa chapelle de Sainte-Anne-la-Palud de son ancien nom en 1518 Sancta-Anna-ad-Paluden dépendait jusqu’à la Révolution française de l’abbaye de Landévennec. On prétend que la chapelle remonte au temps de saint Guénolé. Une pierre du clocher de la chapelle du XVIIe siècle portait la date de 1419. La chapelle fut reconstruite plusieurs fois notamment au XVIIe siècle.

Le premier dimanche de janvier 1858, le recteur de Plonévez-Porzay de l’époque a proposé un projet d’agrandissement de la chapelle. Il s’agissait de reconstruire le chœur et les deux sacristies. Le projet se heurta aux objections du préfet et fut abandonné.

En 1863, la chapelle est finalement reconstruite malgré, cette fois-ci, les réticences de l’évêché. La nouvelle chapelle date de 1864. Joseph Bigot est l’architecte de cette chapelle.

En 1903, un oratoire est construit sur le flanc nord de la chapelle pour l’usage des pèlerins toujours plus nombreux.

La fontaine de 1870 remplace l’édicule de 1642. Elle est l’œuvre de Christophe Kermaïdic. La niche contient deux statues en pierre de sainte Anne et de la Vierge. La niche a été gravement endommagée et la Vierge décapitée par des occupants le 23 janvier 19443.

Le calvaire du milieu du XVIIe siècle est l’œuvre du sculpteur landernéen Roland Doré.

La sainte Anne vénérée à Sainte-Anne-la-Palud est une sainte bretonne plus ou moins mythique qui fait partie de ces saints bretons de l’Armorique primitive. Elle est souvent assimilée à sainte Anne, la mère de la Vierge Marie. Sa vie est mal connue. Voici ce qu’en dit Gustave Geffroy en 1903 :

« Mariée à un seigneur méchant et jaloux qui détestait les enfants et ne voulait pas en avoir, Anne fut maltraitée et chassée une nuit par son époux, au moment où celui-ci s’aperçut de sa maternité prochaine. La pauvre femme abandonna le château de Moëllien1 et se dirigea vers la mer où elle aperçut une lueur. C’était une barque que dirigeait un ange. Elle y monta, navigua longtemps, bien longtemps, et finalement débarqua en Judée où elle mit au monde la Vierge Marie. Elle revint en Armorique de la même façon, y fut accueillie avec des transports de joie, car on lui croyait le pouvoir d’apaiser les éléments et de guérir les maladies. Des années et des années après son retour, elle reçut la visite de son petit-fils, Jésus, venu pour solliciter sa bénédiction avant de commencer à prêcher l’Évangile. Jésus, sur le désir de son aïeule, fit jaillir une fontaine auprès de laquelle on bâtit la chapelle, qui devait être le refuge des infirmes et des misérables. Quand Anne mourut, on chercha partout, mais vainement, sa dépouille ; on ne la retrouva que bien des années plus tard baignant dans les flots, encroûtée de coquillages2. »

En raison de cette légende, sainte Anne est surnommée « Mamm gozh ar Vretoned » (la « grand-mère des Bretons ») et très vénérée en Bretagne. Une autre légende, complémentaire, concernant la même sainte, est à l’origine d’un autre lieu célèbre de pèlerinage en Bretagne: Sainte-Anne-d’Auray.

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Patrimoine

Notre Dame de Rumengol

20130706_Rumengol ext   Extrait de l’ouvrage de Jean-Yves Hamon « Puiser à la source – Notre Dame de Rumengol » diffusé par Coop-Breizh – 29540 à Spézet  :

 » Selon la légende illustrée par la grande verrière du choeur de l’église actuelle, le roi Gradlon édifia, à la place d’un autel druidique, un sanctuaire dédié à la Trinité et à Notre-Dame. Ce double patronage serait un signe de l’ancienneté du culte en ce lieu.

Les premiers écrits remontent à la fin du XIIè siècle. Rumengol était alors une chapelle tréviale de Hanvec. Mais on sait que, dès le XIVè siècle, l’église de Rumengol reçoit des offrandes et peut réaliser des travaux importants sans l’intervention du recteur du Hanvec.

Une inscription placée sous le soubassement sud du clocher date de 1536 le début des travaux de l’église actuelle : « L’an mil cinq cents trente six le XIV jour de may fust fondé. Guénolé gouverneur. Hervay Inisan fabrique alors. » La sacristie porte la date de 1694.

L’existence d’un pélerinage très ancien est attestée par un document de 1674 : « de tout temps immémorial, on a dit et célébré messe matinale, grand’messe, vêpres et offices ordinaires en ladite église, les dimanches, fêtes et autres jours dédiés pour le service de ladite église(…) nombre de pèlerins des villes de Quimper, Châteaulin, Brest, Landerneau, Morlaix et d’autres lieux viennent ces fêtes et dimanches pour y entendre ces messes…« 

Devenue insuffisante en raison de l’affluence des pèlerins, l’église fut agrandie en 1732 (le choeur actuel), puis entre 1740 et 1748 (dans le sens de la largeur). En forme de croix, l »église actuelle comprend une courte nef dépourvue de bas-côtés, un double transept et un choeur à chevet plygonal. En 1850, une chapelle, où sont célébrés les deux grands pardons annuels, fut érigée à l’Ouest de l’église

L’enclos a perdu son aspect d’origine : l’ossuaire a été démoli et le calvaire du XVè siècle transporté dans le nouveau cimetière. Il reste fort heureusement l’arc de triomphe qui sert de transition entre l’espace profane et l’espace sacré. En le franchissant, nous sommes invités à nous ouvrir au message que nous livre cette belle église. »

Merci à Jean-Christophe Normand pour ces très belles photographies :

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Patrimoine

La chapelle de Quilinen

QuilinenLa chapelle de Quilinen, en forme de (L) a été construite en 2 temps; le clocher se trouvait à l’origine au milieu de la chapelle, à hauteur de la nef. La partie avec le choeur voûté date de la fin du XVème. Le clocher actuel date de 1868.

Malmenée par l’ouragan du 15 octobre 1987, la chapelle a été restaurée par une nouvelle couverture en ardoises rustiques de Sizun.

L’intérieur de la chapelle a conservé un très beau Maître-Autel à pavillons en bois sculpté et peint, ainsi que de nombreuses statues anciennes du XVIème dont la poutre de gloire avec grande crucifixion, St Yves entre le riche et le pauvre, la mise au tombeau (groupe de 3 hommes et 2 femmes autour du Christ dans une niche de 2x2m).

Le calvaire du XVIème sur une base triangulaire ressemble à celui de Saint-Venec. Sa composition, toute en perspective, est peu commune. Le Christ, en croix à l’Ouest, est représenté ressuscité et montrant ses plaies à l’Est (côté du soleil levant, donc de la vie). Il est accompagné de deux larrons, de douze Apôtres, de la Vierge, de Saint-Yves, St Jean et d’un groupe de descente de croix.

Une fontaine de dévotion située, non loin de la chapelle, est ornée d’une récente statue représentant ND de Quilinen.

Pardon le 3ème dimanche de mai et ouverture de la chapelle tous les jours du 15 mai au 15 octobre.

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Patrimoine

Merci Monsieur Dan Ar Braz

(composé et interprété par Yves Monfort)

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Musique

Song for Elia

(Composé et interprété par Pierre Monfort)

For_Elia

 

Musique

Le Festival « Kann Al Loar » de Landerneau

« Depuis sa création, il y a près de trente ans, le festival apporte un soutien indéfectible au bouillonnement culturel de la Bretagne, loin des clichés poussiéreux et de la folklorisation au formol. Chaque année, les artistes soutenus par le festival sont les acteurs vivants d’une Bretagne contemporaine et innovante. A travers la musique, le chant, le théâtre, la danse ou encore la mode, s’expriment autant d’individus avec leurs identités, autant de façons de partager et de transmettre sa Bretagne aux autres, avec ses métissages, ses rencontres…

A l’heure de la culture de masse et de la mondialisation décomplexée, il revendique ses singularités. Fier de son identité bretonne, il n’en est pas moins ouvert sur le monde et sur la diversité culturelle.

Jean-Michel Le Boulanger dans son livre « Être breton ? » aux éditions Palantines l’exprime parfaitement: « Oui aujourd’hui, nous pouvons nous dire, nous revendiquer, nous affirmer bretons, sans en maîtriser la langue, sans en écouter la musique, sans en fréquenter les festoù-noz… Seulement voilà : la langue, la musique et le fest-noz existent. S’ils disparaissaient, pourrions-nous continuer à être bretons ? »

(extrait du site officiel du festival)

Le son de la bombarde et du biniou s’échappe dans la nuit, sur scène des acteurs jouent une pièce en breton, dans le port les vieux gréements montrent leurs plus beaux atours, sur le pont, on y danse, on y danse… Le festival Kann Al Loar revient, chaque mois de juillet, attirant chaque année depuis quinze ans des milliers de personnes, touristes de passage ou habitants de la Bretagne… 40 000 spectateurs en 2001 ! que de chemin parcouru depuis sa création en 1987 ! En fait, tout en évoluant chaque année, le Festival est depuis ses débuts fidèle à ses trois axes conducteurs :

.Tout d’abord, il aborde la culture bretonne vivante sous toutes ses facettes, dans sa richesse et sa diversité : qu’il s’agisse de la musique, de la musique traditionnelle au rock celtique, en passant par le chant choral, qu’il s’agisse de la danse, traditionnelle, avec notamment le Concours de Danse Kef, ou contemporaine d’inspiration celtique, ou de chorégraphies modernes basées sur la tradition, avec notamment le Festival du Léon, qu’il s’agisse du théâtre en langue bretonne, de la culture de la mer avec sa Fête du Patrimoine Maritime où les vieux gréments rejoignent les métiers de la mer, qu’il s’agisse de l’artisanat d’art, de la gastronomie bretonne, des jeux et sports traditionnels bretons avec son Village en Fête, de la littérature avec sa Rencontre des Editeurs et des Ecrivains Bretons.

Kann Al Loar est ainsi le Festival par excellence de la création théâtrale en langue bretonne. En effet, tous les ans, c’est à Kann Al Loar que sont jouées en première les nouvelles pièces de théâtre en breton.

Un autre exemple est le chant choral breton, qui a vu, depuis ces quatorze dernières années, ses plus importantes oeuvres créées lors du Festival Kann Al Loar : citons War varc’h d’ar mor, Kan evit ar Peoc’h, Ar Basion Vras, Buhez, Droug-kinnig Nevenoe, Missa Armorica… Même les sons et lumières d’Ar Vro Bagan ont été créés à Kann Al Loar : Ys la maudite, Liberta, La Passion Celtique, 39-45, Tristan et Yseult.

Fêtes

Le Festival Fisel de Rostrenen

C’est en 1969 que le premier concours de danse fisel a lieu à Loudéac, puis l’année suivante à Bonen. De Bonen, il s’est ensuite dirigé vers Maël-Carhaix en 1972 où il s’enrichit d’un fest-noz à la salle Arc-en-ciel qui s’avère vite bien trop exiguë.

Le Festival Fisel était à sa création en 1972, un événement célébrant essentiellement la danse « Fisel », typique de la rgion de Rostrenen. Depuis, il a su se développer, s’étendre, se diversifier et ainsi devenir ce qu’il est actuellement : un festival ouvert à toutes les formes d’art.

Après quelques années, le rendez-vous de la Pentecôte s’implante à Rostrenen. C’est là qu’il endosse véritablement le nom de festival puisque les organisateurs de l’époque rajoutent une soirée repas-cabaret, des stages de danse, de chant, et de musique, se greffe aussi un concours de sonneurs et enfin la soirée cabaret des bars de la ville.

Depuis plus de trois décennies, le Festival Fisel accompagne la vie et l’évolution des musiques et des danses traditionnelles en Bretagne.

Festival atypique dans le paysage estival de part sa situation géographique (Centre Breta­gne) et sa programmation ouverte, il offre tous les ans à des milliers de festivaliers de réelles découvertes artistiques.

Le Festival Fisel est là pour que les habitués se retrouvent, que les non initiés se découvrent, que les échanges «fusent». Il permet aussi, aux personnes qui ne connaissent pas ou n’imaginent pas la vitalité des arts populaires, de vivre en temps réel la force et la réalité de ces musiques résolument actuelles.

Site officiel :

Fêtes

Les Tonnerres de Brest

Bon sang de tonnerre de Brest !!!

Pourquoi avoir choisi une telle expression pour fête maritime de Brest de 2012 ?

Parce qu’elle est typiquement, culturellement brestoise.

Par son origine (le coup de canon tiré lors de l’évasion d’un prisonnier du bagne de Brest, et les coups de canon qui annonçaient chaque jour l’ouverture et la fermeture des portes de l’arsenal), cette expression est légitime à Brest et appartient à l’histoire et à la culture brestoise.

Par son sens, elle exprime de façon appropriée l’ampleur, la résonnance des Fêtes Maritimes de Brest. Elle dit la vocation des Fêtes Maritimes de Brest à porter fort et à porter loin.

Par sa charge affective (elle est indissociable du marin le plus célèbre de l’histoire de la bande-dessinée), elle apporte à la Fête Maritime de Brest un surcroît de connivence avec son public, fait de gens de mer et d’amoureux des bateaux

Alors pourquoi s’en priver, bon sang de tonnerre de Brest ?

(Extrait du site officiel)     

 

Fêtes

Mondial Folk à Plozevet

« La troisième semaine du mois d’août, Plozévet, à l’extrême ouest de la Bretagne, à mi-chemin entre Quimper et la Pointe du Raz, se transforme en carrefour du monde. Environ 800 artistes représentant une dizaine de pays des 5 continents s’y donnent rendez-vous. Chaque année, le temps d’une semaine, notre petite cité d’à peine 3.000 âmes, se laisse envahir pour son plus grand bonheur par près 30.000 visiteurs. Un défi que se plaisent à relever les 200 bénévoles de notre association en rivalisant d’imagination pour concocter un programme que pourraient bien leur jalouser de nombreuses très grandes villes, créant ainsi une incroyable effervescence non-stop dans les rues de la bourgade : galas, concerts, défilés, marché artisanal, apéros-concerts, randonnées, expositions etc… au total une trentaine de spectacles ou animations… Autre priorité des programmateurs : proposer aux festivaliers un juste compromis entre les spectacles payants et les animations gratuites… rendant ainsi leur manifestation accessible à tous… »

(extrait de la home-page du site officiel)

Fêtes