Lors du décès d’un proche, ou lors d’une cérémonie d’enterrement, les femmes étaient vêtues de noir et se devaient de dissimuler leur blanche coiffe. Pour le grand deuil, la femme portait une grande cape dont le capuchon recouvrait entièrement la tête. Le visage était à peine visible. Les ailes de la la coiffe blanche, sans dentelle, étaient baissées, épinglées et croisées sur la poitrine. Cela s’appelle : « distronsed ar koef ». Plus souvent, lors des enterrements, les paysannes recouvraient leur coiffe d’une autre coiffe de drap noir, sorte de cape qui retombait jusqu’à la poitrine. C’était la « koef mezer ». Le demi-deuil se distinguait par une grande coiffe aux larges ailes tombantes appelée » var gorre » et portée lors des enterrements et des offices de l’église. Dans les années 1830, cette coiffe était jaunie au safran.
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